samedi 8 mars 2014

L'aventure TXT, par Fabrice Thumerel [Traversée Prigent #5]



Réunion TXT à Compiègne en 1981 : de gauche à droite, J. Demarcq, E. Clémens, C. Prigent, JP. Verheggen et C. Minière



Le titre de TXT, comme son projet, se définit par rapport à l'espace des possibles de ces années 60 : « la mode était double : il y avait, d'une part, la tendance prophétique (Chemin et Promesse véhiculaient l'idée charienne d'un futur habitable grâce à l'effort de la littérature) ; et, d'autre part, l'ancrage terrien de l'humanisme post-éluardien (Argile, Traces…). C'est de cela qu'il fallait s'écarter », telle est l'analyse que nous livre Christian Prigent une trentaine d'années plus tard dans mon premier grand entretien avec lui (« Passage des avant-gardes à TXT », p. 218). Et ensuite de retracer sa genèse :

« Au départ, adepte de "l'infinité potentielle du code", Jean-Luc Steinmetz voulait appeler notre revue
Jean-Luc Steinmetz et Christian Prigent à Venterol (04) en 1969
"L'Infinitif". Mais cela faisait trop philosophico-métaphysico-je-ne-sais-quoi… […] après avoir écarté le titre L'Infinitif, nous avons pensé à celui de Texte, qui nous paraissait exemplairement neutre (en fait, il était tout sauf neutre, car c'était le moment où était en train de s'imposer la notion de Texte, comme je le rappelais tout à l’heure…). Puis c’est devenu TXT. D’abord sous l’influence de la notion d’œuvre ouverte (Umberto Eco) : le texte n'étant pas clos, il appartient au lecteur de lui donner sens, de le reconstituer, voire de l’inventer. A ce moment-là, Jean-Luc Steinmetz et moi-même lisions également un remarquable roman fantastique, Le Golem (1915) de Gustav Meyrink  (il est cité au dos du premier numéro de TXT). Ce Golem ne prend vie que si  l’on réécrit sur son front les voyelles qui manquent à son nom : dans notre esprit, le lecteur devait rajouter les voyelles qui manquent au tExtE pour lui donner vie. Par ailleurs, nous lisions beaucoup Freud. Or, dans ses Essais de psychanalyse appliquée, il y a un texte dans lequel, réfléchissant sur le fait que l'inconscient "ignore la contradiction", il montre que l'évolution d'une même racine peut la conduire vers des sens antagonistes. Il prend un exemple dans la langue égyptienne (une même racine, selon qu'elle soit orthographiée avec un e ou un a —"Ken" ou "Kan" —, revêt les significations opposées de "fort" ou de "faible"). Nous avons rapporté ces références au titre choisi pour la revue : on ne donnerait que la structure consonantique, et le mouvement de la lecture et de l'interprétation constituerait le sens, c'est-à-dire rajouterait les voyelles manquantes. Mais ce titre s'est aussi imposé, je crois, pour deux autres raisons.  D’abord son caractère imprononçable (à une époque où nous lisions L'Ecriture et la différence, c'était indiquer quelque chose du non que l’écriture oppose à l’illusion de la parole vive) ; ensuite sa dimension graphique : c'était un logo avant, si j’ose dire, la lettre (le peintre Pierre Buraglio le travaillera dans ce sens, bien des années après) » (pp. 220-221).

Ce titre servira d'enseigne au groupe, de label — c'est-à-dire de marque déposée, de signature, de signe distinctif, dans cet espace oppositif qu'est le champ littéraire.

            Certes, comme le rappelle C. Prigent dans ses « Légendes de TXT » qui préfacent l'anthologie parue en 1995 chez Christian Bourgois, les débuts sont loin d'être glorieux : « On est "d'avant-garde" et perçus comme tels par deux journalistes, trois abonnés, quatre lecteurs en vrai, plus dix pseudos qui cherchent à caser leurs texticoli théoritorticolés dans nos peu de pages (40) ronéotées très cochonnées » (p. 7). Certes, même prise en charge par Christian Bourgois, TXT n'a jamais dépassé la petite centaine d'abonnés et quelques centaines d'exemplaires vendus. Mais, dans un champ dominé par la production romanesque de masse, la création d'une revue au sein du pôle de production et de circulation restreintes est le seul moyen pour les jeunes écrivains — qui plus est s'ils sont poètes — de formuler de nouvelles positions esthétiques et d'espérer ainsi, à long terme, assurer leur existence, voire leur subsistance littéraire. (Car, pour les initiés, le label TXT signifiait : « plus radical, donc plus original que Tel Quel »).

            Ces jeunes artistes qui lancent TXT (quatuor initial : Christian Prigent, Alain Duault,
C. Prigent et JP. Verheggen au Cap Fréhel en 1971
Jean-Luc Steinmetz, Jean-Pierre Verheggen ; second quatuor : Philippe Boutibonnes, Daniel Busto, Eric Clémens, Yves Froment) sont disposés à subvertir l’ordre en place par leur origine sociogéographique (petite bourgeoisie intellectuelle de province) et leur horizon intellectuel : nourris de linguistique structuraliste, de sémanalyse kristévienne, de psychanalyse lacanienne, de grammatologie derridienne, ou encore de matérialisme dialectique, ils revendiquent par ailleurs des slogans avant-gardistes qui s’inscrivent dans la haine bataillienne de la poésie, comme « La poésie : merde pour ce mot ! » (Francis Ponge), « La poésie est inadmissible, d’ailleurs elle n’existe pas » (Denis Roche)… Christian Prigent est à ce point marqué par ce dernier qu’il lui consacre d’abord un article dans Action poétique (« Pour Denis Roche », n° 41-42, 1969), puis un volume entier (Le Groin et le Menhir, Seghers, « Poètes d’aujourd’hui », 1977), qui fait suite à un numéro spécial de TXT (n° 6-7 : « La Démonstration Denis Roche », 1974).


           

            Les trois étapes d'une stratégie collective

            TXT, c'est la publication de cent quarante auteurs francophones environ, c'est la traduction d'une bonne soixantaine d'écrivains étrangers, c'est la participation de musiciens (Pierre Boulez, Vinko Globokar, Marc Monnet, etc.), de peintres, de photographes et de performers (Ben, Philippe Boutibonnes, Pierre Buraglio, Mathias Pérez, Daniel Dezeuze, Jean Dubuffet, Bernard Dufour, Joël Hubaut, Jean-Paul Thibeau, Claude Viallat, etc.). Par-delà la diversité — d'arts, de genres ou de nationalités — émerge pourtant une étonnante unité : on n'a guère de peine en effet à percevoir la ligne antipoétique et anti-académique qui relie tous ceux qui merdRent — de quelque façon que ce soit, et en particulier au moyen du carnavalesque — et font effort de théoriser leur art.
            Dans la trajectoire de TXT, il est possible de mettre en évidence trois étapes fondamentales.

            La distinction carnavalesque (1969-1972)

            Voici comment Prigent évoque les débuts de TXT : « Sur le plan littéraire, c'était stylistiquement opaque : notre grande joie était précisément de publier des textes que personne ou presque ne pouvait lire. Toute revue d'avant-garde est d'ailleurs, d’une certaine façon, une machine fabriquée contre la possibilité même de lire (puisqu’il s’agit de  redéfinir ce que l’on entend par lire)… » (MDC, p. 224). Cet illisible  est engendré, sur le plan théorique, par les discours
linguistique, philosophique, etc. (cf. J.-L. Steinmetz, « Homologies », n° 1, et « Limite du travail sur le phonème », n° 5 ; E. Clémens sur Derrida, «Alternance et doublement», n° 5…), et, sur le plan littéraire, par l'écriture carnavalesque.

            Car, après une « phase fan-club de Tel Quel », TXT opère un « gros investissement, Rabelaisvia Bakhtine aidant, sur le "carnavalesque", premier prêt-à-porter théorique labellisé TXT » (Prigent, « Légendes de TXT », p. 7). Et ce label, pour l'imposer, il a fallu le différencier de la vulgate intellectuelle, qui ignore le travail sur le signifiant, le défendre contre « l'utilisation qui a pu être faite du signe "carnavalesque" pour cautionner diverses pratiques dites "d'avant-garde" » : « Le brouillage commence par réduire brutalement la "pratique carnavalesque" à une forme "d'art populaire". La carnavalisation textuelle est alors ramenée à la simple intégration d'une thématique "ludique" et d'un hypothétique langage "oral", déclaré plus "authentique". Cette réduction de la complexité des questions structurales posées par Bakhtine s'accompagne bien entendu de vitupérations à l'égard de "la plupart des débats idéologiques contemporains [qui] se situent à un niveau abstrait, intellectuel, ignorant la pensée populaire" » (Prigent, « Carnaval : inflation, réaction », n° 5, pp. 10 et 12).



            Engagement et langagement (1972-1980)

            Même lorsque le collectif TXT emboîte le pas à Tel Quel pour s'engager dans la lutte maoïste,
Christian Prigent et Valère Novarina à Ostia en 1980
il pose que les moyens de la Révolution seront avant tout littéraires. Encadré par deux citations de Mao Tsé Toung, l'éditorial intitulé « Fonctions d'une revue » prend position en faveur d'un engagement spécifique : « Pas de critique, donc de transformation, spécifique sans "autonomie relative". […]. Sur la base de "l'autonomie relative", une revue "de littérature" doit marquer exactement son objectif, sa fonction propre […]. Notre pratique est et sera d'écriture dans la lutte politique» (n° 5, pp. 1, 5 et 7).
            Après deux ans d'arrêt néanmoins, pour cause de crise idéologique, TXT s'évertue à mettre en pratique cet engagement dans la langue (langagement). Prenons deux exemples. Dans « Long-os » de Philippe Boutibonnes (n° 6-7), si référence il y a à une certaine réalité sociale, elle est des plus opaques, noyée qu'elle est dans un flux burlesque qui charrie slogans recyclés et propos sexuels, dans une langue orale faite d'inventions verbales :

« — J'suis mort-né, nié. J'avais pas d'corps, pas d'rengaines d'sang même en fioles. Elle m'en a refilé un la pouffiasse, qui poussait d'partout : j'y aurais bien brouté ses membranes, son évang'elle, son con à cam à canines, son claque à os, son cribl' à prépuces, son pince quéquettes. Travailleurs, ça ne peut plus durer. Au travail c'est la cadence qui brise les os. Cadr'haves, tas d'truies suçotées pour blanchir les restes passés au pinard (moi, j'creuse, l'ongle au bout d'ma pine, salut frère nématode), on va bien finir par y passer sous l'pas cadenassé ou la chierie des mouches, le froissement des pupes. […], Les cris m'f'ront sortir, sans yeux, les miens pendus à la fenêtre (vert correct sans plus), sans poids au bid, propret dans mon pantalon de golf, écartant les mottes, j'y entrerai dans la révolution (La bourgeoisie produit ses propres fossoyeurs), la femme pataugeant dans cett'liqueur dont j'entendais l'clapotis dans l'cercueil près d'os chers ».

Quant au Babil des classes dangereuses (n° 8) de Novarina, il substitue à la lutte des classes la lutte des langues, la lutte de la langue poétique contre les langues mécaniques — opposant l'économie de la langue à la langue comme instrument de domination sociale et économique

            La résistance à la restauration littéraire (1981-1993)

            Au tout début de la nouvelle décennie, où, suite à la crise idéologique des avant-gardes, on commence à parler de « postmodernité », le dernier numéro publié par Bourgois esquisse un court bilan mais surtout une nouvelle ligne de front :

« On nous dit : la modernité est une vieille lune. Eh bien, tant pis. Nous continuerons à aimer l'appel d'air que provoque cette notion […].
Sans doute un certain impact de la littérature telquelienne, dont on a tant critiqué le théoricisme, a-t-il été fonction du contexte dans lequel les textes apparaissaient : la sémiotique, la psychanalyse lacanienne, le structuralisme. C'était le temps du "comment-ça-fonctionne", du meccano greimasien, de la glose derridienne ; et il y avait pour impulser et accueillir ça un public universitaire issu de l'enthousiasme épistémologique des années 65-75. Sans doute. Mais il n'y a pas à regretter ce temps […].
Pourquoi se désoler de cette crise idéologique (ce n'est rien d'autre) de l'avant-gardisme ? Nous n'avons besoin de personne pour approfondir notre mise en travail de la langue et ouvrir, élargir notre réflexion sur l'imaginaire de l'époque » (éditorial du n° 13, « Il faut une grande technique au-delà de la mode », pp. 3 et 6).

TXT à Bruxelles en 1986 : Boutibonnes,
Clémens, Le Pillouër, Prigent, Frontier et
Verheggen.
Résister à la restauration, c'est continuer dans la veine carnavalesque (cf. nos 21 et 31 notamment) ; c'est continuer à inventer des formes (dans « Peinture des xris », par exemple, E. Clémens propose des « lations de corps », c'est-à-dire des exercices de phonation pour dire le corps, cet innommable — cf. n° 15) ; c'est continuer à traduire ceux qui MerdRent (Cummings, Biély, Bernstein,…). C'est brocarder L'Infini de Sollers (n° 41), qu'on estime avoir trahi Tel Quel et l'avant-gardisme : « Sollers est une star — qui tremble d'être filante. Vivant dans la lumière du spectacle (qu'il prétend subvertir de l'intérieur !), il ne peut qu'éclipser son entourage et réduire les jeunes écrivains au rôle de fans. Si lui-même arrive encore à nous séduire parfois (l'effet paillettes), ce que sa revue nous donne à lire de contemporain est consternant. […]. L'esthétique des boutiquiers n'est pas difficile à comprendre : il suffit de n'accorder aucun crédit à l'emballage. Quelle disproportion comique entre l'insignifiance réelle des textes et ce que promet la pub (signée Sollers) pour la revue ! […]. Lisez donc L'Infini : c'est à se tordre » (P. Le Pilloüer, « L'Infini : boutique de star », n°31, pp. 78-79).

            En 1993, la démission de Christian Prigent met fin à une aventure qui s’est déroulée sur près d’un quart de siècle : le temps est venu, pour lui comme pour ses compagnons, de s’investir davantage dans l’œuvre – ce qui n’empêchera nullement l’intégration de l’ancien directeur de TXT dans le comité de Fusées (1995-2010).

NB : Pour une étude plus complète : cf. mon Champ littéraire français au XXe siècle, Armand Colin, 2002, p. 104-112.

           

TXT


· La revue :

1969 : TXT, n°1, 40 p., TXT éditeur.
1970 : TXT, n° 2, 50 p., TXT éditeur.
1970 : TXT, n° 2bis, 52 p., TXT éditeur.
1971 : TXT, n° 3-4, « Ponge aujourd'hui », 88 p., TXT éditeur.
1972 : TXT, n° 5, « Fonctions d'une revue », 110 p., TXT éditeur.
1974 : TXT, n° 6-7, « La Démonstration Denis Roche », 140 p., TXT éditeur.
1975 : TXT, n° 8, « Babil des classes dangereuses », 132 p., TXT éditeur.
1977 : TXT, n° 9, « Aux colères errantes », 114 p., Christian Bourgois éditeur.
1978 : TXT, n° 10, « L'Ecrit, le Caca », 112p., Christian Bourgois éditeur.
1979 : TXT, n° 11, « Le Poids de la langue », 152 p., Christian Bourgois éditeur.
1980 : TXT, n° 12, « L'Acteur ? », 168 p., Christian Bourgois éditeur.
1981 : TXT, n° 13, « Au-delà du principe d'avant-garde », 78 p., Christian Bourgois
éditeur.
1982 : TXT, n° 14, « La Poésie c'est à dire l'écriture », 110 p., Limage-2 éditeur.
1983 : TXT, n° 15, « Intraduction aux étrangers », 112 p., Limage-2 éditeur
1983 : TXT, n° 16, « La Fiction délie les langues », 112 p., Limage-2 éditeur.
1984 : TXT, n° 17, « Critiques, encore un effort ! », 96 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1985 : TXT, n° 18, « A fond la fiction ! », 58 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1985 : TXT, n° 19, « Babel U.S.A. », 70 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1986 : TXT, n° 20, « La Peinture fait écrire », 74 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1987 : TXT, n° 21, « La Dégelée-Rabelais », 64 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1988 : TXT, n° 22, « Le Chanteur en charabia », 92 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1988 : TXT, n° 23, « Travaux en corps », 60 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1989 : TXT, n° 24, « D.D.R Lyrik 1989 », 88 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1990 : TXT, n° 25, « Black orature », 78 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1991 : TXT, n° 26-27, « Voilà les textes », 110 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1991 : TXT, n° 28, « Artaud interdit, Artaud inédit », 102 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1992 : TXT, n° 29-30, « Côté corps, côté jargons », 148 p., Lebeer-Hossmann éditeur.
1993 : TXT, n° 31, « Languelais, Fatrasies & Lotharingites », 88 p., TXT éditeur.

· Hors-série :

1972 : TXT, « Informations », n° 1, supplément au n° 5, avril 1972, brochure, 8 p.
1980 : « Prenez TXT, votre avenir est entre vos mains », brochure, 12 p. (supplément à TXT, n° 12), Christian Bourgois éditeur.
1984 : « TXT-Vidéographie », textes et photographies, 86 p., Lebeer-Hossmann éd.
1989 : « TXT vingt ans », textes, photographies, dessins et peintures, 71 pages, éditions du Centre d’art contemporain de la Communauté française de Belgique.

· La collection :

Chez Christian Bourgois
Vélimir Khlebnikov, La Création verbale (textes traduits du russe par Catherine Prigent), 1980.
Philippe Muray, L’Opium des Lettres, préface de Philippe Sollers, 1979.

Aux éditions Cheval d’Attaque
Christian Prigent, Peep-Show, 1984.
Jean-Pierre Verheggen, Pubères putains, 1985.

Aux éditions TXT
Eric Clémens, De r’tour, 1987.
Alain Frontier, Portrait d’une Dame, 1988.
Pierre Le Pillouër, Pancrailles, 1992.
Claude Minière, Difficulté passagère, 1988.
Valère Novarina, Le Babil des classes dangereuses,  1978.
Valère Novarina, La Lutte des Morts, 1979.
Oskar Pastior, Poèmepoèmes (traduits de l’allemand par Alain Jadot, préface de Christian Prigent), 1990.
Christian Prigent, Power/Powder, 1977.
Christian Prigent, Œuf-Glotte, 1979.
Jean-Pierre Verheggen, Le Degré Zorro de l’écriture, 1978.
Jean-Pierre Verheggen, Divan le terrible, 1979.

Aux éditions Limage-2
Eric Clémens, Opéra des Xris, 1984.
Jean-Pierre Verheggen, NiNietzsche peau d'Chien, 1983.


            · Anthologie :

TXT : 1969/1993, Christian Bourgois éditeur, 1995.

              · Christian Prigent et TXT sur le web :

* Tout sur TXT : sur le site du Terrier.net, on lira la présentation de François Lecire et on accédera aux numéros.

* Entretiens avec Christian Prigent :
- « Passage des avant-gardes à TXT » (Fabrice Thumerel), dans Francis Marcoin et F. Thumerel dir., Manières de critiquer, Artois Presses Université, 2001, p. 218 ; repris en 2014 dans SILO, sous le portail de P.O.L.
- « TXT et l’héritage surréaliste » (Bénédicte Gorrillot), 2006.
- « TXT, bilans » (Nathalie Quintane), 2008.
- « De TXT à Fusées » (F. Thumerel), 2008.





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